Publié le 03.06.2024
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Initié par la HEIG-VD, le projet TaaS, pour « transport as a service », ambitionne de transformer les espaces publics en modèles de mobilité durable. Comment ? En offrant de meilleurs outils de développement, grâce à la création de jumeaux numériques et à l’intégration de technologies autonomes.

La vision de TaaS est claire, il s’agit de développer un écosystème de transport autonome pour les biens et les personnes. Pour ce faire, il se sert notamment d’un jumeau numérique. Sorte de modèle digital d’un espace défini, il permet de tester et d’optimiser des solutions de mobilité avant même leur réalisation et de fournir des estimations précises et économiques des moyens nécessaires à la mise en œuvre de tels services et des coûts.

Piloté notamment par Sylvain Pasini et Romuald Mosqueron, TaaS a d’ores et déjà reçu un financement de la part d’Innosuisse. Fondamentalement collaboratif, il associe la HEIG-VD et plusieurs de ses instituts, IICT, REDS et IESE, mais aussi des partenaires académiques, comme la Haute école d’ingénierie et d’architecture et l’Université de Fribourg, une trentaine de partenaires privés et le parc scientifique de l’Aéropole de Payerne.

Mais l’impact de TaaS dépasse les frontières de la mobilité. Ce projet est un pas en avant vers la concrétisation des villes intelligentes, où chaque élément du quotidien est pensé pour améliorer la qualité de vie tout en minimisant l’empreinte écologique. À ce titre, il incarne la rencontre de la technologie et de la durabilité, afin de créer des espaces plus accessibles, efficaces et respectueux de l’environnement.

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